GP de Lugano – Jarlinson Pantano «C’était vraiment très dur raison pour laquelle je suis content du résultat»

28 février 2016

IAM Cycling

GP Città di Lugano 2016 - Lugano - Lugano 184 km - 28//02/2016 - Jarlinson Pantano (IAM Cycling) - Stefano Pirazzi (Bardiani - CSF) - foto Roberto Bettini/BettiniPhoto©2016

LE MEILLEUR DE L’EQUIPE

Jarlinson Pantano. Le Colombien de IAM Cycling s’est montré très actif à Lugano. Le coureur de la formation helvétique a tenté plusieurs démarrages et s’est battu pour la victoire dans le final. «C’était vraiment très dur» a expliqué Jarlinson Pantano. Le circuit et surtout les conditions atmosphériques ont encore rendu la course plus difficile. Nous avions une très bonne équipe sur laquelle je me suis appuyé toute la journée. Dans le final, nous étions placé pour la gagne. Malheureusement, quelques coureurs ont réussi à revenir. Je suis parvenu à finir 5e de ce petit groupe. C‘est dommage mais j’ai ressenti de bonnes sensations. Je suis content de ma performance dans cette course difficile.»

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L’ANALYSE

«Nous avons vraiment vécu une journée très dure» a déclaré Marcello Albasini, le directeur sportif de IAM Cycling. «Les conditions étaient dantesques mais les mêmes pour tout le monde. Nous avons vraiment bien travaillé et l’équipe s’est montrée solidaire. Nous avons été très actif et dans le final Pantano est même parvenu à prendre le large. Dommage que le petit groupe de poursuivants ait pu revenir et que notre coureur ne termine «que» 5e du sprint.»

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LA METEO

En plus d’un circuit exigeant, les conditions atmosphériques connues à Lugano ont durci l’épreuve comme rarement. Dès les premiers mètres et jusqu’au passage de la ligne d’arrivée, la pluie s’est invitée sur la course. Raison pour laquelle le mercure n’a pas dépassé les 5-6 degrés.

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LA PREMIERE

Le GP de Lugano était la première course réservée aux professionnels cette saison en Suisse. Les pros helvétiques comme Mathias Frank ont aussi dû se battre contre les éléments naturels. «C’était vraiment une journée très humide et froide. A plusieurs reprises, j’ai vu que mon SRM indiquait seulement 4°. Dans ces conditions extrêmes, le dernier tour était de trop pour moi. J’ai dû laisser partir les meilleurs.»

LE CHIFFRE

68 – Les coureurs qui ne sont pas parvenus à rallier l’arrivée du GP de Lugano. Un nombre bien plus élevé que la moyenne pour une course disputée au Tessin où le soleil a souvent brillé de mille feux.

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Pictures – BettiniPhoto©2016

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